Dans ce 17ème numéro, l’équipe de l’œil carnivore vous propose un pt’i tour du côté des sorties tech, de découvrir les éditions PIX’N LOVE, un débat sur Netflix, et l’imposture Roberto Rodrigez.
Enregistré le 16 septembre 2014 vous pouvez retrouver ce podcast sur Itunes, télécharger le mp3 ou encore vous abonner au flux RSS. Il a été produit en partenariat avec Indie Web Recordings et Badgeek.fr.
N’hésitez pas à laisser un commentaire, ça fait toujours plaisir !
[highlight color=black] 04:56 [/highlight] Luc: Un pt’i tour du côté des sorties tech!
L’incontournable sortie des derniers smartphones d’Apple et de la Apple Watch (Je dois vraiment vous donner le lien du site d’Apple?…)
La comparaison avec le One+ One que je test depuis 2 semaines
La sortie (au japon pour le moment) des « New Nintendo 3DS » et « New Nintendo 3DS XL » (un bon tour d’horizon proposé par IGN)
Pour ce 13ème numéro, l’équipe de l’œil carnivore vous parle d’avions qui ont changés l’histoire, de tranche de vie africaine, de la Volt face au vent, de festival où une diva se fait vomir dessus et de jeu vidéo où l’on peut appeler Jésus pour péter la gueule à des zombis nazis.
Enregistré le 18 mars 2014, vous pouvez retrouver ce podcast sur Itunes, télécharger le mp3 ou encore vous abonner au flux RSS. Il a été produit en partenariat avec Indie Web Recordings et Badgeek.fr.
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Et merci à ceux qui nous ont suivit en live lors de l’enregistrement de ce numéro.
[highlight color=black] 03:47 [/highlight] sylph : Le dernier Miyazaki
Petite histoire d’Hayago Miyazaki et du studio Ghibli.
Critique du film Le vent se lève de Miyazaki :
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[highlight color=black] 33:47 [/highlight] Nicolas : Le festival d’animation Anima de Bruxelles.
Pour ce 12ème numéro du podcast de l’œil carnivore, on vous parle des Experts à la française, d’un donjon plein de monstres qui vous attendent derrière la porte, d’un sac magique qui nous fait voyager dans le temps, d’un schmilblick improbable et du maître des détectives : Sherlock Holmes !
Enregistré le 11 février 2014, vous pouvez retrouver ce podcast sur Itunes, télécharger le mp3 ou encore vous abonner au flux RSS. Il a été produit en partenariat avec Indie Web Recordings et Badgeek.fr.
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[highlight color=black] 04:07 [/highlight] JB :
RIS police scientifique, les Experts à la française.
En bonus, RIS chez le Captainweb :
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Les tablettes… Petites? Grandes? Chères ou pas chères? Avec ou sans stylet? Système ouvert ou fermé? Les bonnes questions et les réponses qui vont bien avec. Par Luke.
[highlight color=black] 1:21:10 [/highlight] : Tour d’horizon des films de SF en 2013
Entre Pacific Rim, Riddick, Gravity, Oblivion, After Earth, Elysium, RIPD, World War Z, etc. JB vous fait un bilan de cette année en matière de films SF.
Crée en 1997 par le magazine « Digital Production », les prix Animago sont considérés en Allemagne comme les oscars de la création numérique . Voici donc le palmarès des prix décernés ce 25 Octobre 2013 au Film Park de Potsdam-Babelsberg.
C’est un total de 1.043 projets de 66 pays différents qui ont été soumis cette année aux Animago Award’s. Les candidats et les finalistes ont été choisis par un jury indépendant composé de professionnels du développement et de la post-production cinématographique mondiale. la cérémonie de remise animago est le point culminant de deux jours de conférences suivi par plus de 1000 experts internationaux.
Meilleur post-production: « The Crew » par Unité image (France)
Ce prix récompense le travail de post-production numérique pour le cinéma et la télévision. Les principaux critères sont l’animation 3D, le compositing et les effets visuels et non-visuels. Les films et les production 100% virtuelles sont autorisés.
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Meilleur film d’animation de personnage: « à la française » par Morrigane Boyer, Julien Hazebroucq, Ren Hsien Hsu, Emmanuelle Leleu, William Lorton, Supinfocom Arles (France)
Critères d’évaluation: modélisation, mouvement, animation faciale, la texturation et l’authenticité.
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Meilleur Game Design: « The Last of Us » par Naughty Dogs (Etats-unis)
Critères d’évaluation: réalisation technique, le caractère, idée, audio, SFX.
Meilleur production publicitaire : » Swatch – Mad About The Sea « par Celluloid VFX (Allemagne)
Critères d’évaluation: idée, son caractère, SFX, réalisation technique
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Meilleure production interactive: « WürfelWald » de Raphaël Polte, Marvin Podsendek, Burg Giebichenstein Kunsthochschule Halle (Allemagne)
Critères d’évaluation: la convivialité, idée, conception, innovation…
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Le meilleur Trailer: « Watch Dogs » par Digic Pictures (Hongrie)
Cette catégorie comprend les bande-annonces de films, les trailers et les introduction cinématographique de jeux-vidéo. Les critères sont l’originalité, la conception et la réalisation technique de l’ensemble de la post-production, mais aussi les qualités dramaturgique de l’oeuvre.
Meilleur Jeune production : « Rob ‘n’ Ron » de Magnus Igland Møller et Mads Juul (Danemark)
A ce prix parrainé par la production numérique, s’ajoute la somme de 3.000 €. les critères d’évaluation sont l’idée, le caractère et la réalisation technique.
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Prix DIGITAL PRODUCTION lecteur: « Sensation Twisted »par Yasin Hasanian (Iran)
Le gagnant dans cette catégorie ont été choisi par les votes du public sur la page Facebook et par les lecteurs du magazine « Digital Production ».
Prix du jury: « Me tube : August sings Carmen Habanera » par Moshel Film et August Schram (Autriche)
Ce prix est basé sur les critères de conception, l’esthétique et l’utilisation efficace des outils et des logiciels numériques. Les facteurs décisifs dans le choix du lauréat sont le photo-réalisme, l’exécution technique, la conception des personnages et les qualités artistiques de l’œuvre. Le vainqueur de cette catégorie est définis par le vote du public envers une proposition de 10 oeuvres choisie par le jury.
Enregistré le 14 avril 2013 dans le studio d’Indi Web Recording, voici le numéro 4 de notre podcast !
Un gros épisode rempli de sujets à ras bord où l’équipe (Silph, Luke, Darby, Sergio et moi-même) vous parle du sexisme des « geek », de jeux vidéo auxquels on joue actuellement, de musique pour vos oreilles, d’une série britannique qui interroge le futur, de chanteurs qui reviennent d’entre les morts, de carte dans les nuages et de mangas avec des couleurs qui font mal aux yeux.
[highlight color=black] 49min [/highlight] Une série Britanique bien étrange
Black Mirror et un petit trailer bonus accompagné par la musique de Portishead
[highlight color=black] 59min50 [/highlight] Un concert live de Elvis, de Michael Jackson, de Claude Francois ou encore de Ray Charles en 2014 est ce bientôt possible?
Le business des hologrammes
[highlight color=black] 1h12min50 [/highlight] Andy et Lana Wachowski reviennent avec un film magistral
Le décès de Steve Jobs, le 5 octobre, a illustré avec éclat le paradoxe d’Apple, qui est au centre de ce film : c’est la première fois dans l’histoire qu’un entrepreneur a été ainsi salué et pleuré comme un bienfaiteur de l’humanité, et son succès commercial fêté à l’égal d’une oeuvre de génie. Pour les contempteurs du consumérisme, cette dévotion planétaire témoigne du triomphe du capitalisme et de la marchandisation des esprits. Dimitri Kourtchine et Sylvain Bergère, eux, ont décidé de juger sur pièces, et plutôt que d’instruire le procès de la « moi technologie » selon Apple, entreprennent de l’explorer. Un panorama ludique de la planète à la pomme, qui interroge un phénomène de société à part entière. Voire, comme l’affirme un sémioticien, une révolution cognitive ?
Deux chercheurs de l’université de Toronto expliquent en tout cas de façon lumineuse comment la contre-culture, qui voulut dans les années 1960 combattre le capitalisme en luttant contre l’homogénéisation des modes de vie, a au contraire merveilleusement servi le « système » en multipliant les formes de consommation. Un spécialiste du « neuro-marketing » affirme très sérieusement que les zones cérébrales réagissant à l’utilisation de l’Iphone sont celles de l’amour et de la peur (d’être tout seul). D’un ordinateur portable plaqué or à un plasticien spécialisé dans la destruction au chalumeau des produits Apple, en passant par le conseiller d’Obama, Tim Wu, qui compare le succès de Steve Jobs à celui d’Hollywood, en soulignant que l’humanité préfère en général « la facilité et le confort » à la liberté, un tour d’horizon distancié et instructif, en forme d’autobiographie d’un Apple-addict.
[checklist]
[Luke] Puisqu’on discute de la pomme, voilà un article intéressant du site Forbes par Rob Siltanen sur la création du fameux slogan « Think different » d’Apple.
Bon, je sais, je ne vais certainement pas me faire des amis en parlant ici de la mort de Steve Jobs… Mais je trouve que le personnage mérite un baroud d’honneur pour ce qu’il a accompli.
A 56 ans, le récent EX-CEO d’ Apple est mort aujourd’hui. Malade depuis quelques temps, il avait récemment renoncé à la présidence d’Apple et avait, il y a déjà quelques années, donné en l’honneur des nouveaux diplômés de l’Université de Stanford un discourt que je trouve pour ma part particulièrement poignant. Je vous le livre ici en version originale pour ne rien gâcher du message:
About a year ago, I was diagnosed with cancer. I had a scan at 7:30 in the morning and it clearly showed a tumor on my pancreas. I didn’t even know what a pancreas was. The doctors told me this was almost certainly a type of cancer that is incurable, and that I should expect to live no longer than three to six months. My doctor advised me to go home and get my affairs in order, which is doctors’ code for « prepare to die. » It means to try and tell your kids everything you thought you’d have the next ten years to tell them, in just a few months. It means to make sure that everything is buttoned up so that it will be as easy as possible for your family. It means to say your goodbyes.
I lived with that diagnosis all day. Later that evening I had a biopsy where they stuck an endoscope down my throat, through my stomach into my intestines, put a needle into my pancreas and got a few cells from the tumor. I was sedated but my wife, who was there, told me that when they viewed the cells under a microscope, the doctor started crying, because it turned out to be a very rare form of pancreatic cancer that is curable with surgery. I had the surgery and, thankfully, I am fine now.
This was the closest I’ve been to facing death, and I hope it’s the closest I get for a few more decades. Having lived through it, I can now say this to you with a bit more certainty than when death was a useful but purely intellectual concept. No one wants to die, even people who want to go to Heaven don’t want to die to get there, and yet, death is the destination we all share. No one has ever escaped it. And that is as it should be, because death is very likely the single best invention of life. It’s life’s change agent; it clears out the old to make way for the new. right now, the new is you. But someday, not too long from now, you will gradually become the old and be cleared away. Sorry to be so dramatic, but it’s quite true. Your time is limited, so don’t waste it living someone else’s life. Don’t be trapped by dogma, which is living with the results of other people’s thinking. Don’t let the noise of others’ opinions drown out your own inner voice, heart and intuition. They somehow already know what you truly want to become. Everything else is secondary.
Tiré du discours de Steve Jobs à l’université de Stanford en 2005
Tracks est une émission de TV que j’ai toujours beaucoup aimée.
Pour ceux qui connaissent pas, Tracks est un « magazine dédié aux nouvelles tendances, cultures émergentes et décalées », diffusé tous les jeudis et samedis soirs après minuit sur Arte.
Je vous en parle cette fois-ci car le thème de cette semaine est le transhumanisme :
« Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer les caractéristiques physiques et mentales des êtres humains » (wikipedia)
Tous ceux qui ont aimé « Deus Ex » et son questionnement sur l’avenir de l’humanité face à la cybernétique devrait regarder cette émission. La fiction pourrait nous rejoindre plus tôt que l’on ne croit, vers 2045.
Ray Kurzweill, interviewé dans cette émission, affirme qu’en 2045 naîtra un homme 2.0., remodelé par les nanotechnologies et promis à l’immortalité. 2045, c’est pas si loin, on pourra peut être voir cela de nos propres yeux…
Vous pouvez voir cette émission jusqu’au jeudi 29 septembre sur Arte+7 ou ce soir vers 1 heure du matin sur Arte.
Je vous conseille aussi de vous balader sur le site car vous trouverez plein de bonus à l’émission, notamment de faux articles venant du futur et des rushes non utilisés pour l’émission.